Durant l’été 2009, j’ai eu l’occasion de travailler à Saint-Brieuc, ma ville natale. Mon lieu de travail était dans le quartier du port de la ville, Le Légué. Avant de parler de la réalisation étudier, je voudrais m’exprimer concernant la relation qu’entretient la ville et son port.
Saint-Brieuc n’est pas une ville fortifiée, elle ne possède ni remparts ni château, ses moyens de défense durant le moyen-age étaient limités, son seul avantage venait de sa position géographique. La cité a été fondé sur les hauteurs et avait donc une forte visibilité sur les assaillants.
« Une ville mesurée, je l’ai dit, et qui se contiendra longtemps à l’intérieur du cercle de ses belvédères »
LE LANNOU, Maurice, Saint-Brieuc, 1986
Sa cathédrale a sous certain aspect un vocabulaire ressemblant fort à celui de l’architecture défensive. Elle est définie régulièrement comme une « cathédrale forteresse », par de nombreux auteurs. A l’inverse le port du légué était une position, faible à défendre, ce n’est qu’à partir de 1752 que la ville va commencer à s’intéresser à son port dans le but de développer son commerce maritime.
Projet de deux barres, une sur le boulevard Harel de la Noé (projet) et celle construite
Avant la réalisation du Viaduc du Gouët conçu entre 1976 et 1983, le passage le plus utilisé pour relier Saint-Brieuc à Plérin se faisait par le Viaduc de Souzain achevé en 1904, détruit en 1995; ingénieur: Louis Auguste Harel de La Noé (1852-1931). Le viaduc était utilisé par les voitures et les chemins de fer des Côtes-du-Nord jusqu’à la fermeture des lignes. Le Boulevard Harel de la Noé reliait ce pont et avait donc une fréquentation importante.
Sur cette carte postale, on peut voir le versant de la vallée du Gouët côté Saint-Brieuc avec le quartier Saint-Michel où le paysage se trouve être rural, loin de ce qui se trouve être aujourd’hui comme un lieu résidentiel. A gauche apparait deux hautes cheminées dont celle au loin doit appartenir à l’usine Rosengart. Au dessus, sur la cime de la colline se dessine la Villa Rohannec’h construit à partir de 1880 pour le vicomte Alain Le Gualès de Mézaubran (1860-1933), président des armateurs de Bretagne.
Unique document couleur du Viaduc de Souzain, on peut constater la disparition de la ligne du chemin de fer, effectué en 1956. La photographie représente l’autre versant de la vallée côté Plérin.
Tenter de réaliser une coupe et un plan schématique
M. Montreuil architecte
Maitres d’ouvrage M. Louvel
Agence de Bretagne
Le dénivelé du terrain, ondulation des barres telles des drapeaux
La vue offerte
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la ligne souple
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Référence
. 1954. Edificio Niemeyer. Belo Horizonte
. 1957. Edificio Copan. São Paulo
Oscar Niemeyer. 1907-
. 1951. SHAPE Village. Saint-Germain-en-Laye
Jean Dubuisson. 1914- & Félix Dumail. 1883-1955
. Résidence du Luth. Gennevilliers
C. Auzolle et Oscar Zavaroni
. Unité d’Habitation de Pedregulho. Riode Janeiro
Alfonso Eduardo Reidy, F. Bolonha, C. Portinho, F.M. Lopes, S. Santos, D. Astracan, G. De Souza Aguiar
. 1949. Baker Dormitory. M.I.T. Cambridge
Alvar Aalto. 1898-1976
. Projet 1930’s. Plan d’Alger
Le Corbusier. 1885-1965